Couture

Manteau de Noël (1800-1810)

29 janvier 2023 :

Je sais qu’on ne peut pas être plus éloignés de Noël, et que je m’y prends très à l’avance, mais j’organise un week-end en immersion consacré à Jane Austen et à Noël. Mon but est d’avoir une garde-robe 1800 assortie et je sais que ça va prendre du temps ! J’ai déjà quelques pièces mais je souhaite quelques accessoires chauds (que je suis en train de tricoter) et surtout un manteau. De toute la garde-robe composée en 2018 pour le cycle « Jane Austen », j’ai donné les deux que j’avais et il ne me reste « plus que » trois spencers d’été ou d’automne. Ce manteau-là sera en velours doublé de pilou, donc très confortable et chaud !

De plus, si je le termine à temps, je pourrais le porter le 18 février : il y a un bal Régence anglaise au Cercle Gaulois 🙂

Voici quelques inspirations :

J’adore la capuche de la redingote du milieu, mais je ne suis pas sûre d’avoir assez de tissu ! On croise les doigts 😀

Voilà quelques années que je fais toujours une toile même si j’ai des patrons assez précis. Pour le coup c’était bien utile car je voulais un patron avec le moins de pièces possible pour économiser le tissu : ce velours rouge est en fait un ancien rideau de Mr Perfect et je ne suis pas sûre d’avoir assez ! J’en ai profité pour l’ajuster par-ci par-là et agrandir les emmanchures.

J’ai assez pour un manteau long, mais pas aussi long que mes modèles : la fourrure blanche l’agrandira !

Voilà ce que ça donne pour l’instant ! Placer les pièces sur mon rideau a été un vrai casse-tête. Je m’en sors plutôt bien excepté que j’ai coupé les longs pans de devant dans le mauvais sens du velours ! GRRRR PAS CONTENTE.

Mais par chance, ça ne se voit pas trop… Pour l’instant, l’encolure est ronde, mais je pense que je vais la couper en V comme mes modèles 2 et 3 !

1er février 2023 :

J’ai monté les manches et cousu les parties de la doublure, puis j’ai coupé l’encolure en V. J’avais assez de tissu pour une capuche et je l’ai coupé trop court par inattention… Du coup je me suis pris la tête pour régler mon problème, mais finalement cette erreur m’aura permis de faire quelque chose d’original ! Au lieu d’une seule pièce plissée, j’en ai trois, et celle du milieu est formée de bandes cousues alternativement dans le bon et le mauvais sens du velours !

Emma ou Comment utiliser tes chutes^^

Ce soir j’ai presque terminé la base du manteau ! Pour qu’il soit portable il ne me reste plus qu’une agrafe à poser et l’ourlet du bas à coudre !

Je l’adore je l’adore je l’adore 😀 Il est super élégant et tellement confortable ! On dirait un pyjama 😀 Je crois qu’à l’avenir tous mes costumes vont être doublés en cette même matière 😀

2 février :

Voilà ce que ça donne, la base est finie, je vais mettre ce manteau en pause parce que j’ai des choses plus pressées à faire… Mais je me suis bien amusée !

Pour Noël j’ajouterai de la fourrure blanche sur toutes les bordures, et sûrement un galon ou des broderies dorés en décoration !

Ecriture

Beveridge manor

Beveridge Manor est mon dixième roman publié, et le premier publié par mes soins.

Vous pouvez le trouver en version numérique sur Amazon, il suffit de cliquer ici !

Vous pouvez également le trouver en version papier. La première façon est de me le demander directement ! Je me ferai une joie de vous l’envoyer dédicacé ! La seconde façon est de le trouver dans une librairie partenaire. Pour l’instant, elles sont :

Résumé :

Jeune restauratrice de tableaux, Clémence Rosier vient de décrocher un contrat en or : la propriétaire d’une vieille demeure anglaise l’a contactée pour travailler dans la galerie des portraits de ses ancêtres ! Mieux encore, la demeure en question n’est autre que « Beveridge manor », un prestigieux manoir du 16e siècle où ont été tournés plusieurs films historiques, dont quelques adaptations des romans de Jane Austen, un auteur que Clémence affectionne tout particulièrement. Bref, un job de rêve !
Le rêve tourne à l’hallucination lorsque Clémence, décrochant du mur le portrait d’Arthur Wallingford, maître des lieux au début du 19e siècle, découvre, cachée derrière, une étrange porte très ancienne à laquelle personne ne semble avoir touché depuis des lustres. Impossible de résister… En poussant la porte, Clémence pénètre dans un passage qui la mène tout droit dans le Beveridge manor de 1804 !
La surprise passée, Clémence se rend vite compte que la réalité peut s’éloigner assez fort de ce que les romans de Jane Austen lui ont laissé imaginer. Il lui faudra user d’astuce et de toute sa connaissance des mœurs de la Régence anglaise pour s’intégrer dans la famille Wallingford et, qui sait, infléchir heureusement le cours de leur existence… et de la sienne !